Le Cercle d'Histoire de Bruxelles a besoin d'aide
CHB - Dossier locaux
Description détaillée de nos besoins...
Le Cercle d'Histoire de Bruxelles a besoin d'aide
Le Cercle d’Histoire de Bruxelles a perdu 9.000,-€ de subsides (sur 12.000,-€) en 2021, sans espoir de les récupérer en 2022 et après. Sans cet argent nous ne pouvons plus payer notre loyer !
Nous cherchons donc un local pour héberger nos collections, les archives de Jean d'Osta et de Jacques Dubreucq, recevoir nos visiteurs et continuer à mettre nos bibliothèque à disposition des chercheurs ...
Plus de détail dans le "Dossier locaux" ci-dessus.
Merci de transmettre si vous connaissez quelqu'un(e) susceptible de nous
aider !
Contact : cehibrux@gmail.com
Jean-Jacques
Comment ne pas heurter ...
COURRIER INTERNATIONAL - PARIS - 02/03/2021
La poétesse Amanda Gorman lit son poème "The Hill We Climb" lors de la cérémonie d’investiture du président américain Joe Biden, le 20 janvier 2021 à Washington.
Aux Pays-Bas, c’est à Marieke Lucas Rijneveld, étoile montante de la littérature néerlandaise, qu’avait été confiée la traduction de ce texte. Le choix d’une personne blanche a suscité une telle polémique que Rijneveld a renoncé à la mission. Mais le débat ne s’est pas éteint pour autant.
De weireld stoêt oep zaaine kop !
Woê goemme no too ????
Jean-Jacques
J'en saigne ...
Les premiers marqueurs de la civilisation
La Libre, 14 mai 2020 - Édito Par Francis van de Woestyne
Pour éviter qu'il n'entraîne un rebond du virus, le déconfinement doit être progressif. Tous et toutes, nous pouvons élargir notre horizon à condition d’être raisonnables. Tous et toutes, oui. Car il est une idée saugrenue, voire choquante, que l’on voit fleurir chez certains experts, ces nouveaux druides : les sorties seraient autorisées mais découragées pour les aînés ! Imagine-t-on leur faire porter un insigne sur la poitrine pour mieux les repérer, les plus de 65 ans, coupables d’être nés au milieu du siècle dernier ? À la maison, les cheveux blancs, les pensionnés, les grands-parents ! Au rebus ces individus qui ont déjà bien vécus ! Au placard, les vieillards !
Selon une étude anglaise, publiée dans Le Figaro, l’âge serait l’élément le qui a le plus d’impact sur la probabilité de décéder du coronavirus. La prudence reste donc de mise, bien sûr, de rigueur. Mais qui est vieux, et à quel âge ? Le troisième et le quatrième âges ne sont plus ce qu’ils étaient. L’été indien d’une vie est plus ensoleillé qu’avant. Un septuagénaire est-il vraiment plus à risque qu’un quadra qui aurait plusieurs faiblesses physiques ?
La mauvaise nouvelle est que nous mourrons tous. La bonne, c’est que nous ne mourrons pas tous du Covid-19. Et ceux qui en sont atteints ont encore 95% de chance de s’en sortir. Le « sanitairement correct » est indispensable pour que la vie reprenne sans heurt. Mais le danger, ce ne sont pas les aînés ; c’est le manque de tests à grande échelle, le manque de matériel de protection, et surtout le non-respect des gestes de distanciation sociale.
Il faut donc éviter, dans les discours savants, de stigmatiser la population des « aînés » et de faire peser sur leur tête la responsabilité des échecs. Une société a besoin de touspour vivre, pour vibrer : aussi bien des visages jeunes que des peaux ridées où se lisent les vies, les bonheurs, les douleurs. Il faut des entrelacs d’âges, ce mélange des genres et des expériences pour « faire société ». Nous avons tous un grand-père, une grand-mère, un oncle, une tante qui nous a inspirés, à qui nous avons confié nos premiers émois. Ne privons pas nos enfants de ce plaisir. Les aînés s’investissent corps et âme dans le bénévolat, dans toute une série d’activités sociales et familiales. Limiter leur rôle, ce serait, précisément, les faire mourir à petit feu.
65 ans et plus? Le bel âge!
La Libre, 14 mai 2020 - Édito Par Francis van de Woestyne
Pour éviter qu'il n'entraîne un rebond du virus, le déconfinement doit être progressif. Tous et toutes, nous pouvons élargir notre horizon à condition d’être raisonnables. Tous et toutes, oui. Car il est une idée saugrenue, voire choquante, que l’on voit fleurir chez certains experts, ces nouveaux druides : les sorties seraient autorisées mais découragées pour les aînés ! Imagine-t-on leur faire porter un insigne sur la poitrine pour mieux les repérer, les plus de 65 ans, coupables d’être nés au milieu du siècle dernier ? À la maison, les cheveux blancs, les pensionnés, les grands-parents ! Au rebus ces individus qui ont déjà bien vécus ! Au placard, les vieillards !
Selon une étude anglaise, publiée dans Le Figaro, l’âge serait l’élément le qui a le plus d’impact sur la probabilité de décéder du coronavirus. La prudence reste donc de mise, bien sûr, de rigueur. Mais qui est vieux, et à quel âge ? Le troisième et le quatrième âges ne sont plus ce qu’ils étaient. L’été indien d’une vie est plus ensoleillé qu’avant. Un septuagénaire est-il vraiment plus à risque qu’un quadra qui aurait plusieurs faiblesses physiques ?
La mauvaise nouvelle est que nous mourrons tous. La bonne, c’est que nous ne mourrons pas tous du Covid-19. Et ceux qui en sont atteints ont encore 95% de chance de s’en sortir. Le « sanitairement correct » est indispensable pour que la vie reprenne sans heurt. Mais le danger, ce ne sont pas les aînés ; c’est le manque de tests à grande échelle, le manque de matériel de protection, et surtout le non-respect des gestes de distanciation sociale.
Il faut donc éviter, dans les discours savants, de stigmatiser la population des « aînés » et de faire peser sur leur tête la responsabilité des échecs. Une société a besoin de touspour vivre, pour vibrer : aussi bien des visages jeunes que des peaux ridées où se lisent les vies, les bonheurs, les douleurs. Il faut des entrelacs d’âges, ce mélange des genres et des expériences pour « faire société ». Nous avons tous un grand-père, une grand-mère, un oncle, une tante qui nous a inspirés, à qui nous avons confié nos premiers émois. Ne privons pas nos enfants de ce plaisir. Les aînés s’investissent corps et âme dans le bénévolat, dans toute une série d’activités sociales et familiales. Limiter leur rôle, ce serait, précisément, les faire mourir à petit feu.
Christian Hubin
L'orthographe correcte c'est ringard ! Il suffit de lire les sous-titres qui accompagnent le JT de la RTBF depuis des années...
Christian & Mireille
Joske Maelbeek
Le XXème siècle fut riche en courants littéraires. Si la littérature devait être le reflet d'une époque (ce qu'heureusement, elle n'est pas), notre frileux XXIème siècle aurait hérité d'un courant qu'
Kitty Goudeketting
Très chouette et vivifiant ce courrier plein de profondes vérités et d'humour.
Kitty
Nicole et Jacques Leyers-Van Brussel
Bien Jean-Jacques. C'est un plaisir de recevoir ces petits mots. J'aime beaucoup la plume de Francis Van de Woestijne.
A bientôt (en virtuel, hélas).
Paul
Merci Monsieur le PROFESSEUR pour tes trois publications en lien avec notre collègue , Monsieur Paty .